Depuis que j’ai mis le point final au premier volet de la trilogie autobiographique La princesse aux pieds nus, je me sens comme libérée. Les myriades d’histoires qui peuplaient mon esprit sans avoir le courage de les coucher sur le papier jusqu’à présent, se bousculent maintenant pour flirter avec ma plume. Ou tout du moins mon clavier d’ordinateur.
Je suis comme possédée. Habitée par ce torrent de mots qui jaillit sans que je puisse réellement l’expliquer, de ma cervelle assoiffée d’écriture. Alors j’écris. Dès que je le peux. Déjà prête à en découdre avec mon prochain roman…